[su_accordion class=""] [su_spoiler title="Ai-je besoin de me vacciner si les mesures barrières ont été respectées ?" open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
OUI - Le besoin persiste.
En effet, les mesures barrières pendant l’activité professionnelle sont efficaces lorsqu’elles sont bien respectées mais le risque de contracter la grippe existe aussi en dehors de l’activité professionnelle.
Le masque est justifié pour deux raisons :
- Il permet la protection du soignant contre les infections respiratoires des patients et des visiteurs (port du masque en présence d’un patient tousseur, pour se protéger de la grippe ou d’une autre infection).
- Il prévient de la contamination des patients par le soignant porteur du virus de la grippe (risque notamment dans les 24h qui précèdent les symptômes de grippe chez le soignant), et donc doit être porté aussi en contact avec les patients indemnes d’infections respiratoires, donc en fait pendant toute la durée du poste de travail...
La vaccination protège contre la grippe pendant et aussi en dehors des heures de travail, mais le vaccin spécifique n’apporte pas de protection vis-à-vis des autres virus ou bactéries (notamment infections respiratoires à adénovirus, VRS, rhinovirus).
Donc l’idéal est l’association de la vaccination antigrippale et du port du masque en contact avec les patients présentant une infection respiratoire.
- Société française d’hygiène hospitalière (SF2H). Prévention de la transmission croisée par voie respiratoire : Air ou Recommandations nationales. Recommandations pour la pratique clinique. Hygiènes 2013 ; 21(1): 53 pages.
- Haut conseil de la Santé Publique (HCSP). Avis relatif à l’utilisation des mesures barrières en prévention des infections respiratoires aiguës et des infections respiratoires 2015 ; 1-6.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Si la vaccination antigrippale est si importante, pourquoi n’est-elle pas obligatoire ?" open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
C’est une question régulièrement débattue dans la plupart des pays dont la France.
Certains États aux USA ont rendu obligatoire cette vaccination pour les professionnels de santé, avec une bonne acceptabilité (1).
L’objectif premier de la vaccination des soignants est de protéger leur santé. Une obligation vaccinale est justifiée vis-à-vis d’une maladie (comme l’hépatite B) qui met directement leur vie en danger. Dans le cas de la grippe, exceptionnellement très grave chez les soignants, l’objectif est au moins autant de protéger les soignés d’une éventuelle contamination. On considère que ceci devrait suffire à convaincre les soignants de se faire vacciner sans recourir à des moyens coercitifs.
(1). Rakita RM, Hagar BA, Crome P, Lammert JK. Mandatory influenza vaccination of healthcare workers: a 5-year study. Infection Control and Hospital Epidemiol2010; 31(9): 881-8.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Pourquoi vacciner les professionnels de la santé alors qu'en période épidémique les visiteurs ou d'autres patients/résidents non vaccinés sont susceptibles d'introduire la grippe dans les établissements de santé ou autres collectivités ?" open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
En effet, il parait difficile de réduire à zéro le risque de grippe pour les patients hospitalisés/résidents avec la seule vaccination des professionnels. Mais en tant que personnel, il est important de faire le maximum pour ne pas être à l'origine d'une contamination. Donner des soins à un patient/résident en sachant que l'on est susceptible de lui transmettre la grippe n'est pas une démarche professionnelle ou personnelle satisfaisante. Pour limiter le risque d'introduction de la grippe dans les établissements de santé (1) en période épidémique, il faut demander aux visiteurs grippés ou présentant une infection respiratoire de ne pas rendre visite aux patients/résidents, et/ou de porter un masque qui est mis à leur disposition à l'entrée de l'établissement.
(1). https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=430
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Si on demande au personnel de se faire vacciner pour protéger les patients ou résidents, pourquoi ne pas plutôt vacciner tous les patients ou résidents ?" open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
L’efficacité du vaccin dépend de l’âge et de l’état immunitaire de la personne vaccinée. Elle est moins bonne chez les personnes âgées ou immunodéprimées. Chez les personnes fragiles, le vaccin a surtout pour effet de limiter les complications, les hospitalisations et le décès. Par la nature même de son travail, le personnel des établissements de santé ou hébergeant des personnes fragiles est exposé à un risque plus grand de contracter la grippe que la population générale. À l’inverse, il peut aussi transmettre la maladie aux personnes vulnérables. La vaccination du personnel permet de protéger les patients/résidents et garantit la continuité des soins-essentielle en période épidémique - en limitant l’absentéisme. Elle est recommandée pour tous les professionnels de santé et tout professionnel en contact régulier et prolongé avec des personnes à risque.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Quelles sont les personnes et patients concernés par les recommandations de la vaccination antigrippale émises par la Haute Autorité de Santé (HAS) ?" open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES
Une vaccination tous les ans contre la grippe est recommandée pour toutes les personnes de 65 ans et plus.
RECOMMANDATIONS PARTICULIÈRES
La vaccination contre la grippe est recommandée :
• Aux femmes enceintes, quel que soit le stade de la grossesse
• À toute personne âgée de plus de 6 mois si elle présente l’une des maladies suivantes :
- maladies respiratoires : bronchite chronique; emphysème, asthme, silicose, dilatation des bronches, mucoviscidose, malformations de la cage ... Toutes ces maladies sont en effet susceptibles d’être aggravées par la grippe ;
- maladies cardiovasculaires : cardiopathie congénitale, insuffisance cardiaque, maladie des valves cardiaques, troubles du rythme cardiaque, maladie des artères du cœur, angine de poitrine, antécédent d’accident vasculaire cérébral (AVC), d’infarctus ou de pontage;
- maladies neurologiques et neuromusculaires : formes graves des affections neurologiques et musculaires (myopathie, sclérose en plaques, séquelles d’accident vasculaire cérébral, démence de type Alzheimer ou autre, poliomyélite, myasthénie…), paraplégie ou tétraplégie avec atteinte du diaphragme;
- maladies des reins et du foie : néphropathie (atteinte du rein) chronique grave, personnes en dialyse, syndrome néphrotique, maladie chronique du foie;
- troubles métaboliques : diabète;
- troubles de l’immunité et maladies sanguines : cancers et autres maladies du sang, transplantation (greffe) d’organe et de moelle, déficits immunitaires, maladies inflammatoires et/ou auto-immunes traitées par immunosuppresseurs, infection par le VIH, drépanocytose.
• À l’entourage des nourrissons de moins de 6 mois qui présentent des facteurs de risque de grippe grave : prématurés, enfants atteints de cardiopathie congénitale, de déficit immunitaire congénital, de pathologie pulmonaire, neurologique ou neuromusculaire ou d’une affection de longue durée (ALD).
• Aux personnes en situation d’obésité avec un indice de masse corporelle (IMC) égal ou supérieur à 40 kg/m2.
• Aux personnes séjournant dans un établissement de soins de suite ou dans un établissement médico-social d’hébergement quel que soit leur âge.
RECOMMANDATIONS POUR LES VOYAGEURS
La vaccination contre la grippe est recommandée chez toutes les personnes concernées par les recommandations générales, en particulier lorsqu’elles participent à un voyage, notamment en groupe ou en bateau de croisière.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Le vaccin n’est pas efficace. Qu’ en est-il exactement?" open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
Ce n’est pas exact. Son efficacité peut varier selon les années. Ce vaccin est actuellement fabriqué à partir de 3 ou 4 souches virales : A(H1N1), A(H3N2) et B (lignée Victoria et la lignée Yamagata).
Les souches de virus qui sont contenues dans les vaccins sont choisies par l’OMS en février en fonction des virus ayant circulé lors de la saison grippale précédente, les vaccins sont mis à disposition en septembre et l’épidémie débute souvent entre décembre et février de l’année suivante. Durant cet intervalle, il arrive que le virus grippal mute, pouvant rendre le vaccin moins efficace.
Habituellement la mutation ne concerne qu’un des virus et on reste protégé contre les autres.
Malgré tout, les années de faible efficacité de la vaccination sont minoritaires : une méta-analyse a montré que l’efficacité vaccinale était bonne lors de 8 saisons sur 12 (1).
(1). Osterholm MT, Kelley NS, Sommer A, Belongia EA. Efficacy and effectiveness of influenza vaccines: a systematic review and meta-analysis. Lancet Infectious Diseases2012; 12(1): 36-44.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Je me suis fait vacciner l’an dernier et j’ai quand même eu la grippe. Comment peut-on dire que ce vaccin est efficace?" open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
Pour confirmer une vraie grippe, il faut la réalisation d’un test prouvant que la maladie était bien due à ce virus.
En effet, les très nombreux virus respiratoires circulent en même temps que les virus grippaux. Ils peuvent entraîner des infections respiratoires fébriles qui évoquent la grippe. Elles sont difficiles à différencier de la grippe en l’absence de prélèvement.
Toutefois, il existe des échecs de la vaccination, quand le virus grippal circulant mute et diffère du virus contenu dans le vaccin.
D’une manière générale, les personnes vaccinées qui pensent avoir eu la grippe ont en réalité présenté une infection liée à un autre virus.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Une vaccination contre la grippe répétée chaque année a-t-elle des conséquences sur mon système immunitaire ?" open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
Notre système immunitaire répond chaque jour à des stimulations beaucoup plus importantes que celle liée à une vaccination. Aucune donnée ne soutient également le risque d’effets secondaires lié à la répétition annuelle de la vaccination, y compris chez les enfants.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Le vaccin contre la grippe peut-il entraîner un syndrome de Guillain Barré ? Qu’en est-il exactement ?" open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
Le syndrome de Guillain Barré est une maladie grave qui comporte des paralysies extensives pouvant toucher les muscles respiratoires. Une récupération survient habituellement mais des décès sont possibles ainsi que des séquelles.
La suspicion d’un lien entre les vaccins contre la grippe et la survenue de syndrome de Guillain-Barré date de 1976, aux Etats-Unis, lors d’une campagne de vaccination de 45 millions de personnes contre la grippe porcine. Une revue de la littérature montre que ce risque rare est d’environ 1 cas supplémentaire par million de personnes vaccinées par rapport à la fréquence attendue du syndrome de Guillain-Barré dans la population adulte, qui est de l’ordre de 2,8 cas par an pour 100 000 habitants, en l’absence de toute vaccination antigrippale.
En revanche, la grippe elle-même est considérée comme un des facteurs de risque possible du syndrome de Guillain-Barré avec une incidence de l’ordre de 4 à 7 pour 100 000 sujets grippés.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="La femme enceinte présente un sur-risque de grippe grave." open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
VRAI - De nombreuses études, dont certaines conduites en France, montrent que la grippe est plus souvent grave lorsqu’elle survient chez la femme enceinte.
Les hospitalisations sont jusqu’à 7 fois plus fréquentes que dans une population du même âge, en particulier du fait de la survenue de complications respiratoires et/ou cardiaques. Ainsi, chaque année en France, 30 à 60 femmes enceintes sont hospitalisées en réanimation pour une grippe grave, la plupart sans maladie préexistante.
La grippe expose également au risque de fausse couche et d’accouchement prématuré, en particulier lors des cas graves requérant l’hospitalisation.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="La vaccination de la femme enceinte prévient la grippe chez l’enfant après sa naissance." open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
VRAI - Le vaccin administré chez la mère au cours de la grossesse permet la production d’anticorps qui vont la protéger contre le virus grippal ; ces anticorps vont passer le placenta, être transmis au fœtus et persister 3 à 6 mois après la naissance.
De ce fait, les nourrissons dont la mère est vaccinée pendant la grossesse sont moins souvent atteints de grippe durant l’année suivant leur naissance (protection de 40 à 60%).
La vaccination de la femme enceinte a donc comme bénéfice supplémentaire la protection de l’enfant à naitre pendant les mois durant lesquels il est le plus fragile.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Le vaccin antigrippal est efficace chez la femme enceinte." open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
VRAI - Les études disponibles montrent que la vaccination pendant la grossesse permet d’éviter environ 50% des cas de grippe (ce taux variant d’une année sur l’autre, comme en population générale). La vaccination permet aussi de diminuer la survenue des complications respiratoires.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Le vaccin antigrippal peut être administré sans risque chez la femme enceinte." open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
VRAI - Des études menées sur plusieurs centaines de milliers de femmes enceintes ont montré que le vaccin antigrippal peut être utilisé sans risque en cours de grossesse. Il n’est associé à aucun risque de maladie maternelle, ni retard de croissance in utero, ni fausse couche, ni malformation fœtale, ou maladie de l’enfant après sa naissance.
Le risque chez la mère de polyradiculonévrite aiguë (syndrome de Guillain-Barré), qui représente 1 à 2 cas par million de personnes vaccinées contre la grippe, est tellement faible qu’il n’a pu être observé chez la femme enceinte (et sa fréquence est par ailleurs plus élevée après la grippe).
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Je suis enceinte. Je dois me faire vacciner, c’est indispensable et en plus gratuit." open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
VRAI - Pour moi et mon bébé. OUI « je fais tout pour mon bébé »
La vaccination contre la grippe est désormais recommandée en France pour toutes les femmes enceintes, quel que soit le terme de la gestation. Un nombre significatif de femmes enceintes a présenté des complications de la grippe, dont certaines très graves, ayant entrainé le décès de la mère et de son fœtus.
Enfin, la surveillance des effets secondaires a confirmé la bonne tolérance du vaccin grippal, aussi bien pour la mère que pour le fœtus.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Je souffre d’une maladie chronique et reçois un traitement qui déprime l’immunité. Je dois absolument me faire vacciner." open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
VRAI - On peut dire qu’une personne porteuse d’une maladie chronique avec son traitement qui déprime les défenses immunitaires présente des risques de complications liées à la grippe.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="J’ai un terrain allergique et on m’a conseillé d’éviter les vaccins. Dois-je me faire vacciner ?" open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
Les contre-indications définitive ou temporaire à la vaccination antigrippale sont très rares.
En outre, on n’est jamais allergique à tout. L’allergie à un des composants du vaccin représente en effet une contre-indication au vaccin en question. Concernant la vaccination contre la grippe, les virus servant à fabriquer le vaccin sont cultivés sur œuf et il reste des traces de protéines de l’œuf dans le vaccin. L’allergie documentée aux protéines de l’œuf est une contre-indication admise à la vaccination grippale. Par contre, il n’y a aucune raison de ne pas vacciner une personne allergique à des produits non contenus dans le vaccin.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="Quels sont les effets indésirables de la vaccination contre la grippe ?" open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
Il convient de se référer à la notice de ces vaccins, disponibles sur le site de la base de données publique des médicaments pour connaître l’ensemble des effets indésirables.
Effets indésirables communs à tous les vaccins injectables :
- Réaction au site d’injection telle que douleur, rougeur, gonflement : très fréquent (>10 cas sur 100 vaccinés).
- Des effets généraux comme de la fièvre, des douleurs musculaires ou articulaires : fréquent (1 à 10 cas sur 100 vaccinés).
- Réaction allergique : très rare (1 cas sur 450 000 vaccinés).
Des réactions allergiques graves, bien que très rares, peuvent survenir après la vaccination.
Si l’un des symptômes décrits ci-dessous apparaît, vous devez immédiatement contacter un médecin ou les urgences médicales :
- Une éruption cutanée pouvant s’accompagner de démangeaisons ou de bulles
- Un gonflement des yeux et du visage
- Une difficulté à respirer ou à avaler
- Une chute soudaine de la pression artérielle et une perte de connaissance
[/su_spoiler] [su_spoiler title="J’ai déjà fait une grippe à cause du vaccin, juste après qu’on m’ait piqué. Je n’en veux plus !" open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
Il est possible que l’infection s’installe avant que le vaccin n’ait eu le temps de déclencher la réponse immunitaire, soit dans les 15 jours environ qui suivent la vaccination.
Il est également possible que vous ayez été infecté(e) par un virus différent mais qui peut provoquer des symptômes comparables à ceux de la grippe. Ce n’est pas une raison pour refuser la vaccination. Au contraire ! Le vaccin contre la grippe est fabriqué à partir de virus inactivés. Il est bien toléré par l’organisme. Il ne peut en aucun cas donner la grippe.
Enfin, il est vrai que le vaccin ne protège pas à 100% et on peut faire partie des non-répondeurs au vaccin qui a été administré mais rien ne dit qu’il en sera de même pour un prochain vaccin car la composition du vaccin varie pratiquement tous les ans. Plusieurs études ont montré qu’il n’y avait pas plus d’effets indésirables chez les sujets recevant le vaccin que chez ceux recevant un placebo.
[/su_spoiler] [su_spoiler title="J’ai lu sur internet que la vaccination c’est dangereux." open="no" style="default" icon="plus" anchor="" class=""]
FAUX - Pour toute information pratique sur la vaccination, Vaccination-info-service.fr est le site institutionnel de référence.
Conçu sous l’égide de Santé publique France, établissement public sous tutelle du Ministère chargé de la Santé, l’objectif de ce site est de répondre aux questions les plus courantes sur la vaccination et les vaccins en France.
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- Thèmes abordés sur l’espace grand public
A quoi servent les vaccins ? Contrôle de qualité et de sécurité des vaccins. Quels vaccins dois-je faire ?
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Recommandations vaccinales spécifiques (patient immunodéprimé, patient porteur de maladie chronique, ...). Aspects scientifiques, pratiques, réglementaires, juridiques et sociologiques.
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